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Le Modèle du Canari

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Le Modèle du Canari

Guide de la neurodiversité, de la dignité et de l’appartenance intersectionnelle au travail

Berrett-Koehler,

15 Minuten Lesezeit
6 Take-aways
Audio & Text

Was ist drin?

Créez un environnement de travail inclusif pour des employés – et des leaders – neurodivergents, afin d’atteindre de nouveaux sommets de productivité.


Classement éditorial

9

Caractéristiques

  • Révélateur
  • Bien structuré
  • Exemples concrets

Commentaires

De nombreux collaborateurs neurodivergents ratent des opportunités d’emploi et ont des employeurs incapables de les gérer, car ils n’entrent pas dans le moule. Pour eux, voir les entreprises adopter plus de flexibilité pendant le Covid a été une aubaine. Le docteur et professeur Ludmila Praslova offre des perspectives pour favoriser un environnement de travail inclusif, célébrant la neurodiversité et la dignité intersectionnelle. Ses stratégies permettent à chacun de se sentir valorisé et respecté. Apprenez à briser les barrières et à déployer des politiques de diversité des talents efficaces.

Résumé

Les environnements de travail inclusifs encouragent des styles d’interaction, de communication et de productivité différents en remettant en question les standards neuronormatifs.

La neurodiversité reconnaît l’éventail des variations en matière de cognition, d’émotions et de perceptions humaines, parmi lesquelles les troubles neurodivergents comme le TDAH, l’autisme et la dyslexie. Or, certains mythes au sujet de la neurodiversité, comme supposer que tous les neurodivergents partagent les mêmes traits, perpétuent des phénomènes d’exclusion au travail. Ces mythes regroupent tout le monde au sein d’un même segment, tout en ignorant les besoins et les préférences des neurodivergents.

Pour permettre aux employés neurodivergents de donner le meilleur d’eux-mêmes au travail, les organisations doivent créer des environnements flexibles et inclusifs, qui respectent les différences en termes de besoins sociaux, cognitifs, émotionnels et sensoriels. Ainsi, des critères de recrutement qui valorisent la capacité du candidat à soutenir un contact visuel ou à ne pas s’agiter risquent de désavantager des candidats neurodivergents pourtant qualifiés.

Créer un environnement réceptif...

À propos de l’auteur

Le docteur Ludmila Praslova est professeur à la Vanguard University et en a fondé les programmes de master en psychologie des organisations.