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Internationalisation ouverte
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Internationalisation ouverte

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Éditions Vuibert, 2018 plus...

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Classement éditorial

7

Caractéristiques

  • Connaissance du contexte
  • Exemples concrets
  • Niveau Expert

Commentaires

Au-delà du processus pur d’internationalisation, les entreprises peuvent exploiter une forme inédite de déploiement à l’étranger : l’internationalisation ouverte. Pour Nadine Tournois et Philippe Very, tous deux enseignants universitaires, ce ‘méta-modèle’ nécessite de la part des dirigeants un changement de mentalité qui exige de prendre en compte les différences culturelles du pays dans lequel ils souhaitent s’implanter, de développer des modalités de pratiques collaboratives et d’accepter de remettre en cause leurs certitudes pour atteindre l’efficience. Un ouvrage complet, destiné aux dirigeants et aux entreprises qui souhaitent conquérir de nouveaux marchés internationaux.

Résumé

L’entreprise peut choisir parmi trois modèles théoriques pour réussir son internationalisation.

Pour s’internationaliser, une entreprise peut, en fonction des objectifs poursuivis, recourir à l’un des trois modèles suivants :

  1. Le modèle d’Uppsala (élaboré en 1975 par Johanson et Wiedersheim-Paul) : se caractérise par l’expansion internationale progressive de l’entreprise. Celle-ci commence par exporter vers le marché où elle souhaite se développer puis, en cas de succès, elle y crée une filiale, voire une usine. Son expérience de ce marché l’incite ensuite à y investir davantage tout en prenant plus de risques. Pour limiter ceux-ci, l’entreprise doit sélectionner son marché en tenant compte de la ‘distance psychique’, c’est-à-dire qu’elle est active dans des marchés dont les caractéristiques sont proches de son marché domestique. Puis elle exploite les connaissances accumulées sur ce premier marché étranger pour se développer ensuite sur des marchés à plus forte ‘distance psychique’ (à savoir la disparité physique, culturelle et institutionnelle).
  2. Le modèle d’Uppsala ‘revisité’ (2009) ...

À propos des auteurs

Nadine Tournois est professeur à l’Université Nice Sophia-Antipolis et membre de l’Université Côte d’Azur. Avant d’enseigner, elle a travaillé pour plusieurs firmes multinationales comme Texas-instruments et IBM. Philippe Very est professeur de stratégie, adjoint au doyen de la faculté à EDHEC Business School. Il est l’auteur de nombreuses publications académiques et professionnelles ainsi que d’interventions dans les médias. Ses recherches portent sur les stratégies internationales et les fusion-acquisitions.