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Les vertus positives de l’échec

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Les vertus positives de l’échec

Tirer les enseignements en matière de leadership sans avoir à payer le prix fort

Jossey-Bass,

15 minutes de lecture
10 points à retenir
Texte disponible

Aperçu

Les dirigeants brillants apprennent plus de leurs échecs que de leurs réussites.

Classement éditorial

7

Caractéristiques

  • Analytique
  • Stimulant

Commentaires

L’échec est un concept qui souffre de préjudices. Laurence G. Weinzimmer, professeur de management, et Jim McConoughey, consultant en entreprise, abordent le thème des revers que rencontrent les dirigeants et leurs répercussions, comme le montre leur enquête menée auprès des managers ainsi que leurs entretiens avec des grands capitaines d’industrie. Bien que divertissant et instructif, l’exposé que présentent les auteurs sur la manière d’apprendre de ses échecs ne permet pas d’explorer de nouveaux territoires. getAbstract recommande néanmoins cet ouvrage concis et aisément accessible aux dirigeants et aux managers qui souhaitent identifier ce qui a donné des résultats dans le passé, ce qui a échoué et les raisons de cette réussite ou de cet échec pour en tirer les enseignements.

Résumé

Le leadership sans failles : Retenir la leçon sans avoir à payer le prix fort

Kenneth Lay, ancien président d’Enron et Jim Owens, ex-PDG de Caterpillar, partagent des antécédents communs : les deux sont issus de la même génération et ont grandi avec peu de moyens financiers. Ils ont travaillé dur, jonglant entre leurs multiples emplois et leurs études au sein d’universités d’État. Ils ont tous les deux décroché un doctorat en économie avant de devenir les PDG d’entreprises renommées. Cependant, leur style de leadership était radicalement différent ; si Owens a tiré les leçons de ses échecs, Lay, au contraire, a préféré les ignorer, entraînant ainsi sa propre disgrâce.

Les dirigeants d’entreprises qui n’échouent jamais ne prennent pas suffisamment de risques. Pourtant, l’échec est stigmatisé dans le monde professionnel. Bien que les leaders puissent tirer davantage d’enseignements de leurs erreurs que de leurs réussites, ils tomberont néanmoins en disgrâce si leurs équipes jugent qu’ils connaissent trop souvent l’échec.

Ainsi, ces dirigeants doivent apprendre à maîtriser deux compétences : identifier ce qui a donné des résultats dans le passé...

À propos des auteurs

Laurence G. Weinzimmer est professeur de management au Foster College of Business Administration de la Bradley University. Consultant en développement d’entreprise, Jim McConoughey est également gestionnaire de fonds de capital-risque et gestionnaire d’investissements en capital pour les entreprises en phase de démarrage.