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Le grand deficit de compétences
Livre

Le grand deficit de compétences

Préparer les talents au travail de demain

Stanford UP, 2021 更多详情


Classement éditorial

7

Caractéristiques

  • Complet
  • Important
  • Vu de l'intérieur

Commentaires

Les technologies devenant omniprésentes au travail, les types de postes ouverts changent. Jason Wingard, doyen émérite de l’université de Columbia, et Christine Farrugia, directrice de recherche, ont réuni les vues de 23 dirigeants et universitaires sur le sujet des défis posés par la formation du personnel. Ils couvrent de nombreux sujets, depuis le besoin de formation continue jusqu’à la façon dont l’enseignement supérieur va au-delà du diplôme en 4 ans. Cet ouvrage aidera les dirigeants, les universitaires et les décideurs politiques à suivre le rythme du changement.

Résumé

Les avancées technologiques ont un impact direct sur le monde du travail et sur la façon dont les universités forment les étudiants en réponse aux besoins de leur employeur.

Alors que les technologies – plus particulièrement l’intelligence artificielle (IA) et l’automatisation – font évoluer l’environnement de travail, les universités et les entreprises ont besoin de travailler conjointement pour trouver de meilleures solutions. Les besoins en recrutement des employeurs évoluent et doivent correspondre au contenu et aux modalités d’enseignement des universités. Aujourd’hui, certains grands employeurs rejettent en bloc les diplômes et embauchent au regard de compétences spécifiques.

Les changements induits par l’automatisation obligent les employés à faire preuve de davantage de jugement critique et d’aptitude à la résolution de problèmes. De son côté, l’enseignement supérieur doit trouver des façons de favoriser cette agilité mentale. Nous vivons et travaillons désormais plus longtemps, ce qui nous oblige à apprendre de nouvelles compétences ou de nouvelles façons de mettre en œuvre ces compétences pour rester employables.

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À propos des auteurs

Jason Wingard est doyen émérite et professeur à la Columbia University’s School of Professional Studies,​​​​​ où Christine Farrugia dirige les projets de recherche.