L’effet papillon : l’envers du décor
Comment la mondialisation a créé un risque systémique et que faire pour le maîtriser
Commentaires
Ian Goldin, ex-directeur de la Banque mondiale, et Mike Mariathasan, professeur adjoint, soutiennent que l’environnement actuel mondialisé, interdépendant et complexe est confronté à de nouveaux risques et de nouvelles opportunités. Le titre de leur ouvrage s’inspire de l’image utilisée par Edward Lorenz pour illustrer les rapports de causalité au sein de systèmes complexes : les battements d’ailes d’un papillon sur un continent peuvent déclencher une tornade sur un autre continent. Les menaces auxquelles doivent faire face les populations dans un monde globalisé ne sont pas principalement locales ou isolées, mais plutôt systémiques, comme en témoignent les effets des crises qui se répercutent dans le monde selon des schémas non linéaires et imprévisibles. Le style des auteurs est limpide, les exemples qu’ils proposent sont compréhensibles et le sujet complexe qu’ils développent se révèle d’actualité. getAbstract recommande leur analyse aux entrepreneurs, aux investisseurs et aux PDG, ainsi qu’à toutes les personnes attirées par la complexité, le changement, la mondialisation, la réflexion systémique ou la survie dans un monde interdépendant.
Résumé
À propos des auteurs
Ian Goldin, auteur de plus de 50 articles et 19 ouvrages dont La mondialisation au service du développement, a été vice-président de la Banque mondiale de 2003 à 2006. Mike Mariathasan est professeur adjoint en Finance à l’université de Vienne.
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