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L’impact étonnant des journées sans réunions
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L’impact étonnant des journées sans réunions

Beaucoup d’organisations instaurent des journées sans réunions, mais trouver le bon équilibre dans la semaine nécessite de la concertation


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Classement éditorial

8

Caractéristiques

  • Analytique
  • Approche scientifique
  • Pratique

Commentaires

Un nombre croissant d’entreprises ne considèrent plus les réunions comme le meilleur levier de collaboration d’équipe et de cohésion. Une étude détaillée de 76 entreprises dans le monde montre que la mise en place de journées sans réunions a conduit à une hausse de productivité de 71 %, à 55 % d’augmentation de la coopération et a stimulé la satisfaction au travail de 52 %. Dans leur article de la MIT Sloan Management Review, les professeurs Ben Laker, Vijay Pereira, Pawan Budhwar et Ashish Malik donnent tous les chiffres et expliquent comment mettre en place une bonne politique de réunions.

Résumé

Instaurer des journées sans réunions augmente la productivité, la collaboration, la responsabilisation des employés et la satisfaction au travail.

Pour évaluer les effets de journées sans réunions, les chercheurs ont étudié 76 entreprises, qui avaient toutes instauré des journées sans réunions l’année précédente.

Une journée par semaine sans réunions a sensiblement amélioré la productivité, l’autonomie des employés, la communication, l’engagement et la satisfaction. Cela a également permis de réduire les pratiques de micro-management ainsi que le niveau de stress.

 

Deux jours par semaine sans réunions ont entraîné une hausse de la productivité de 71 % et une augmentation de la satisfaction au travail de 52 %, tandis que les employés expliquaient se sentir davantage responsables...

À propos des auteurs

Les quatre auteurs sont tous professeurs de leadership, de gestion ou de ressources humaines : Ben Laker enseigne à la Henley Business School de l’université de Reading, Vijay Pereira à la NEOMA Business School, Pawan Budhwar à l’Aston University de l’Aston Business School, et Ashish Malik à la Newcastle Business School de l’université de Newcastle.